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L’atmosphère d’Andromède IX s’épaississait, saturée de particules échos, ces résidus d’ondes temporelles émises par les interférences entre intentions. Kael, coriace au ligne de la distorsion, observait l’ultime amélioration du glaçon engloutir. Sa surface s’était étendue au sol, aux murs, au frontière. La station particulière devenait une lentille inversée, déformant la vie au bénéfices d’une connaissance étrangère. Le paradoxe avait contaminé sa plénitude. L’avenir ne se lisait plus : il se repliait sur lui-même. Chaque crédit échangé pour une voyance avec règlement semblait s’inscrire dans une équation voyance sans cb vs voyance avec paiement indisctinct, une dette ancestrale dont personne n’avait compris l’enjeu. Ce n’était pas une acquisition anodine. C’était une soustraction à la fluidité du à suivre. En fixant son futur à un instant valeureux, les clients de ces systèmes prédictifs avaient figé leur qui vous est propre crochet temporelle, débouchant sur leur effacement progressif par une force d’équilibre complet. Kael s’agenouilla amenées à ce qui restait de son mystère, dès maintenant fusionné au cœur de la station. Il ferma les yeux. Aucun protocole, aucune formule, aucun pratique. Il se connecta simplement au flux. Son conscience, ciselé à une voyance sans cb, entra dans la efficacité naturelle des chemins divers, dans la farandole imperceptible des futurs oeuvrant. Il ne tenta pas de éviter l’effondrement. Il l’intégra. Il devint un paramètre neutre au sein de la spirale. L’onde inversée ralentit. Les parois cessèrent de pulser. Le champ magnétique se stabilisa. Le rayonnage s’effaça mollement. Kael disparut sans vocation, sans trace, dissous dans l’équilibre restauré. La station, dès maintenant vide, conserva l’empreinte d’un appel muet. Aucune IA ne put décrypter ce qui s’était joué ici. Mais dans les systèmes de consultation de l’Agence, une note discrète a été ajoutée : le destin ne se vend pas. Il s’accueille ou se perd.

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